Commentla technologie améliore le quotidien de l’homme. L’évolution fulgurante de la technologie depuis maintenant 25 ans est bénéfique pour l’homme à bien des égards. En effet, celle-ci nous facilite la vie à plusieurs niveaux. Sur le plan du travail. Le développement de la technologie couplé au numérique facilite la création d’une multitude d’appareils toujours plus Ecoutez attentivement les nouvelles du matin. Que disent-elles ? A de rares exceptions, il ne s’agit que d’accidents, de décès, de catastrophes, de difficultés, de tension. Elles ne véhiculent que de la lourdeur psychique ! On nous fait très rarement part de bonnes nouvelles qui nous inspireraient, nous tireraient vers le haut, nous donneraient envie de fournir le meilleur de nous même et de nous dépasser pour autrui… Le conditionnement médiatique a un effet pervers car il agit comme des suggestions hypnotiques à force d’entendre répéter encore et encore des messages négatifs, nous finissons par les intégrer au niveau inconscient et nous y réagissons émotionnellement par une forme d’abattement. Faites l’expérience pendant un mois, éteignez votre télévision, éteignez votre radio, cessez de lire les journaux et regardez si,premièrement le monde s’en porte plus mal et deuxièmement, si vous n’allez pas mieux... Qu’on soit clair ce n’est pas faire la politique de l’autruche. En effet, si toutes ces informations négatives vous poussaient concrètement à l’action pour que les choses changent vous engager politiquement ou au niveau associatif, donner de votre temps pour défendre une cause… etc, alors oui, ces informations auraient un impact positif elles vous permettraient de vous mettre en mouvement. Mais que se passe-t-il en réalité ? Que faisons nous de ces informations ? Rien. Ou presque. Elles ne font que se déposer en nous, consciemment et inconsciemment, sans que nous puissions y faire quoi que ce soit. Que se passe-t-il alors ? Comme nous ne pouvons agir concrètement sur les affaires du monde, toutes ces nouvelles catastrophiques induisent en nous, jour après jour, un sentiment d’impuissance, nous donnant une impression de perte de contrôle et de fatalité. Triste résultat, n’est-ce pas ? Comprenez alors que vous avez réellement le pouvoir de bloquer le flot chaotique de ces informations fait, à vouloir, à tout prix, être au courant » des affaires du monde, on se trouve happé et on se déconnecte émotionnellement de sa réalité immédiate. Au lieu de vous alarmer sur la pauvreté dans le monde, demandez-vous plutôt quelles actions concrètes puis-je accomplir contre la pauvreté dans mon quartier ? Qu’est-il possible de mettre en œuvre, ici et maintenant, dans mon environnement immédiat ? Là, vous ne subirez pas passivement l’impuissance du non-agir. Le Dalaï lama affirme que le premier pas pour faire cesser la guerre dans le monde est de faire cesser la guerre en soi. Quelles sont alors les zones de conflits ou de mal être dans mon existence présente, avec mes proches, mes collègues, mes amis ? Comment y remédier ? Que puis-je y faire maintenant ? Voilà les véritables questions ?
Lorsquej’ai lancé ma série sur la méchanceté, je ne m’attendais pas à toutes ces réactions. 🙂. D’abord, je m’attendais pas à ce que la discussion devienne de si haut niveau. A un tel d’ailleurs que j’ai beaucoup de mal à suivre ce que l’ Amibe_B Nard et Alan Shore racontent ! Et puis, il y a eu l’intervention inopinée du coach en méchanceté, Daniel Alighieri, qui
Le shampoing sec Sans arrĂŞt en retard, je suis aussi du genre Ă  croire que je vais avoir le temps de tout faire… Longtemps, j’ai abusĂ© du arf, je me laverai les cheveux demain matin » et, Ă©videmment, le lendemain au rĂ©veil, pas le temps, j’étais dĂ©jĂ  Ă  la bourre. Mais ça, c’était avant – comme dit la pub – que je dĂ©couvre, il y a un an, les bienfaits du shampooing sec. Comment dire… une petite rĂ©volution. ChloĂ©, 27 ans, conseillère juridique Mon homme S’aimer comme nous, c’est une chance et c’est rare. Parce que c’est lui, parce que c’est moi… J’arrĂŞte, on dirait un refrain de Florent Pagny. En fait, ce n’est pas que mon homme a changĂ© ma vie, c’est que la vie sans lui ne m’intĂ©resserait pas. Pauline, hĂ´tesse de l’air, 38 ans Un cafĂ© Ă  New York C’était notre première matinĂ©e Ă  New York, avec mon mec. Comme on restait peu de temps, on avait prĂ©parĂ© un programme minutĂ©. Le premier jour, on a quand mĂŞme pris le temps d’un long cafĂ© avec Emma, la copine qui nous logeait. Je bouillonnais, je voulais commencer la journĂ©e par une visite au World Trade Center. Il Ă©tait presque 9 h, ce 11 septembre. La suite, tout le monde la connaĂ®t les avions, les sirènes, la fumĂ©e, le cauchemar. On Ă©tait sonnĂ©s, on aurait dĂ» ĂŞtre lĂ -bas. Ce cafĂ© nous a sauvĂ©s. Au retour, dans l’avion, mon homme m’a demandĂ©e en mariage. J’ai dit oui ! Alice, monitrice d’équitation, 39 ans Le bon conseil d’un copain Je venais de me faire larguer et il m’a juste dit T’es sĂ»re que t’as pas mieux Ă  faire que de pleurer pour un con ?! » Je ne peux pas dire pourquoi, ça m’a fait un vrai dĂ©clic… Kate, vendeuse, 26 ans Un tĂ©moignage dans un magazine fĂ©minin Il y a trois ans, je suis tombĂ©e par hasard sur un article qui parlait des bĂ©bĂ©s Thalys ». Des femmes partaient en Belgique se faire insĂ©miner pour avoir un enfant en solo. Moi, j’avais 38 ans, j’étais en train de faire le deuil de mon dĂ©sir d’enfant. Quand j’ai lu cette phrase Le bĂ©bĂ© d’abord, le prince charmant après », ça a fait tilt. Je n’allais plus croire aux contes de fĂ©es, j’allais prendre mon destin en main. Aujourd’hui, j’ai un petit garçon de 3 ans et, mĂŞme si je n’ai pas encore rencontrĂ© mon prince, je suis comblĂ©e. Claire, traductrice, 41 ans Mon opĂ©ration des seins J’ai toujours Ă©tĂ© très complexĂ©e par mes seins… trop volumineux ! Ado, ça a Ă©tĂ© l’enfer, je planquais ma poitrine dans des pulls informes et je redoutais le regard et les rĂ©flexions ! des autres. Ă€ 18 ans, mes parents m’ont offert mon plus beau cadeau une opĂ©ration pour les diminuer. Avec mon 90 C, je suis devenue quelqu’un d’autre les gens me regardaient enfin… dans les yeux ! J’ai pris confiance en moi et j’ai appris Ă  m’aimer… Virginie, chef de pub, 32 ans Le GPS Je pense que je peux parler au nom de beaucoup de femmes ! Avant, je pouvais passer des heures au volant, hystĂ©rique, Ă  chercher une adresse… Et puis le GPS est arrivĂ©, et mes crises automobilistiques se sont envolĂ©es ! De la zĂ©nitude en barre, ce truc. Faudrait penser Ă  le faire rembourser par la SĂ©cu… Sofia, 33 ans, infirmière Meetic Parce que j’y ai rencontrĂ© mon homme, bien sĂ»r, mais surtout parce que, Ă©tant timide ascendant introvertie, ça a Ă©tĂ© gĂ©nial pour faire des rencontres et se rĂ©insĂ©rer dans la vie affective. Je rigole, mais Ă  peine… ZoĂ©, 29 ans, instit’ Mon accouchement… difficile La naissance de ma fille s’est très, très mal passĂ©e. J’ai eu une hĂ©morragie et me suis rĂ©veillĂ©e en soins intensifs dans un autre hĂ´pital… Sur le moment, ça a Ă©tĂ© l’horreur. Le fait de frĂ´ler la mort est quelque chose d’incroyable. Aujourd’hui, et ça peut paraĂ®tre bizarre, je m’en sens plus forte et plus dans la vie ». Il n’y a pas un jour oĂą je ne rĂ©alise Ă  quel point la vie est belle. Sandra, comptable, 37 ans Les moelleux Picard J’ajoute une petite crème anglaise que je fais moi-mĂŞme et, hop, je me la pète avec mon dessert ! Comme je suis nulle en gâteaux, c’est un souci en moins quand je fais un dĂ®ner. Ça a changĂ© ma vie. Celle de mes copains, pas sĂ»r… Ils doivent en avoir ras le bol que je leur serve le mĂŞme truc depuis quatre ans ! Caro, webmaster, 31 ans La microfibre Ça fait trois ans que je m’en sers partout dans la maison et que je gagne un temps dingue… Oui, je sais, on dirait une caricature de pub pour de la lessive, mais je m’en fiche. Exemple je ne fais plus les vitres, je file un petit coup de microfibre tous les dix jours. Comme ça, j’ai du temps pour faire des trucs un poil plus passionnants que le mĂ©nage ! Julie, commerciale, 33 ans La valise Ă  roulettes Un grand pas dans la libĂ©ration de la femme avec le lave-vaisselle…. Manon, fleuriste, 26 ans Mon allergie au gluten Quand on m’a diagnostiquĂ© une allergie au gluten, j’ai dĂ» revoir toute mon alimentation. Du coup, le reste a suivi, comme si j’avais besoin de faire un grand mĂ©nage dans ma vie ! J’ai arrĂŞtĂ© de fumer, de trop picoler, cessĂ© de me forcer Ă  voir des gens toxiques… Bref, j’ai adoptĂ© une nouvelle philosophie de vie apprends Ă  prendre soin de toi et Ă  t’écouter ! DaphnĂ©, styliste, 32 ans Mon permis de conduire Pour moi, conduire a vraiment Ă©tĂ© synonyme de libertĂ©. Fini, la sensation d’être le boulet de service, de toujours devoir dĂ©pendre des autres. Avec mon permis, j’ai enfin pu conduire ma vie, au sens propre comme au figurĂ© ! Carla, agent immobilier, 34 ans Ma copine LĂ©a LĂ©a et moi, on s’est rencontrĂ©es il y a trois ans dans le boulot, et on s’est plu, un peu comme en amour ! Je l’adore et c’est vrai qu’en entrant dans ma vie, elle a tout changĂ©. On parle Ă©normĂ©ment toutes les deux et j’ai dĂ©couvert plein de trucs sur moi. Laure, danseuse, 28 ans Devenir mère C’est super clichĂ©, mais moi qui ne pensais qu’à ma pomme, du jour au lendemain, je me suis sentie meilleure, j’ai appris Ă  donner. DĂ©sormais, je ne peux plus faire n’importe quoi, on compte sur moi. Et ça change tout. Audrey, aide-soignante, 37 ans Me couper les cheveux Raaaah, je me revois galĂ©rer avec mes chignons, mes queues-de-cheval… les faire, les refaire jusqu’à ce que ce soit impec. Un jour, j’ai tout coupĂ©, et c’est comme si ça m’avait libĂ©rĂ©e. C’est pratique et, paradoxalement, je me sens plus femme avec les cheveux courts. Louise, prĂ©paratrice en pharmacie, 32 ans Dire Je te quitte » … Ă  un gros naze. Ah, cette sensation de soulagement et de libertĂ©, unique dans une vie ! Sans compter que ça file une patate et une confiance en soi de dingue ! Fatima, bibliothĂ©caire, 33 ans A lire aussi LĂ , j’ai eu peur mais c’Ă©tait gĂ©nial Ça, il n’y a qu’avec lui que je le fais&8230; Ce mec-lĂ , je ne suis pas près de l’oublier !
Bonsoir j’ai besoin d’avis Voilà il y’a peu, un soir j’ai bu avec une amie après être un peu pompette elle me propose
Nos mots créent notre monde. » ~ Rich Litvin Je me souviens quand j’avais environ sept ans, j’ai crié méchamment à ma mère J’aimerais que tu sois morte, je te déteste ! » Elle en est restée bouche-bée, incrédule. Je savais que mes paroles l’avaient blessée, et je sentis mon cœur d’enfant très lourd. Je me souviens, à mes quatorze ans, avoir demandé à mon premier béguin Hé-hé, aurait eu envie d’aller au cinéma avec moi ce week-end ? À ma grande surprise, elle a dit oui, ce qui m’a appris qu’il n’y a pas de mal à demander ce qu’on désire. Plus tard cette année, je serai fièrement aux côtés de ma belle future épouse disant ce mot Oui». Avec ce simple petit mot, je lui exprimerai mon amour et mon engagement. Les mots sont puissants. Ils ont le potentiel de blesser et de détruire ou de renforcer et de créer. Depuis que j’ai embrassé cette vérité il y a quelques années, je suis devenu plus attentif aux mots que j’utilise. C’est-à-dire les mots que je parle et les mots que je pense. Voici quatre façons dont j’ai changé mes mots et qui ont par conséquent changé ma vie. 1. Remplacer “Je vais essayer” par “Je peux et je le ferai” À l’époque où je me sentais coincé dans ma vie, j’étais toujours à essayer. J’essayais de perdre du poids. J’essayais d’annuler mes dettes. J’essayais de redonner de la cohérence à ma vie. J’ai été frappé par le fait que dans tous les domaines de ma vie j’essayais de changer, mais je n’avais pas beaucoup de succès. J’ai ensuite examiné un domaine de ma vie dans lequel je me sentais épanouie ma vie sociale. Faire la fête tous les week-ends a été l’évasion parfaite dont j’avais besoin. Le fait de boire et de faire la fête masquait mon anxiété, me faisant oublier momentanément mes problèmes d’argent et me procurant la confiance en moi qui me manquait lorsque je suis sobre. Fait intéressant, quand des amis m’ont demandé si je serais parti le week-end, je n’ai jamais répondu j’essayerai de le faire. Non ! C’était toujours Je serai là! On se voit dans le club, la première tournée est pour moi ! En prenant conscience de ce schéma, je me suis imposé une nouvelle règle remplacer je vais essayer» par je peux » ou je veux ». Sans surprise, j’ai commencé à voir des améliorations dans ma vie. En disant je peux et je le ferai», je me suis senti plus fort et plus maître de ma destinée. Ma confiance a grandi aussi. J’avais l’habitude de dire à mon copain du gymnase J’essaierai d’aller au gymnase jeudi», simplement pour annuler à la dernière minute n’ayant jamais vraiment eu l’intention d’y aller, puis de me flageller pour ça. Penser en termes de je peux / je veux» m’a obligé à être plus décisif. Je disais alors je te verrai là» ou je te le ferai savoir mardi». Si mardi arrivait et qu’un autre engagement était davantage une priorité, je pouvais le dire clairement et sans me sentir mal d’avoir annulé à la dernière minute. Passer de essayer» à pouvoir / vouloir» m’a amené à me demander Dans quoi est-ce que je veux m’engager ? » Le mot essayer» a toujours une place dans mon vocabulaire. Je peux appeler un restaurant un vendredi après-midi pour essayer de faire une réservation pour la soirée. Ma règle est simple je ne vais jamais essayer de faire quelque chose qui est sous mon contrôle total. Il est possible que j’appelle le restaurant et qu’il soit complet. Le résultat n’est pas sous mon contrôle. Pour tout ce qui est sous mon contrôle – faire de l’exercice, écrire, se lever tôt -, j’utilise maintenant je peux» ou je le ferai». 2. Posez de meilleures questions. Pourquoi suis-je si bloqué ? Lorsque mon angoisse, mes dettes et ma consommation d’alcool étaient à leur pire niveau et que je sentais enfin qu’il était temps de changer, cette question me restait à l’esprit pendant plusieurs jours. Les réponses que j’ai obtenues ont été moins qu’utiles… Parce que tu es un perdant. Parce que tu n’as pas de discipline. Parce que la vie est dure. Après plusieurs jours d’introspection et un ras-le-bol de mes piètres réponses, ironiquement, une meilleure question m’est venue Et si je me posais la mauvaise question ? Je fermais les yeux et demandais à mon esprit de m’en donner une meilleure Que puis-je faire aujourd’hui pour avancer un peu ? Pendant les mois suivants, cela est devenu ma question de choix. Chaque jour, je progressais un peu plus, en mettant l’accent sur les progrès plutôt que sur la perfection et sur les solutions plutôt que sur le problème. Comme dit Tony Robbins Les questions de qualité créent une vie de qualité. Les personnes qui réussissent posent de meilleures questions et obtiennent ainsi de meilleures réponses. ” 3. Dire je vais» au lieu de je dois». Il y a deux ans, j’étais en conversation sur Skype avec un bon ami du Canada. Nous nous connectons de temps en temps et partageons ce sur quoi nous avons travaillé, et c’est toujours très énergique et inspirant ! Il m’a fait part de son idée du je dois» et je vais». Il m’a dit Chaque fois que tu souhaites te sentir reconnaissant, change ton affirmation Je dois en Je vais ». Comme beaucoup d’idées nouvelles que j’entends, cela sonnait bien à l’époque mais, pour être honnête, je l’ai vite oubliée. Quelques jours passèrent et je quittais la maison pour aller chez un étudiant. À l’époque, j’enseignais l’anglais à des étrangers et chaque lundi soir, j’allais à l’autre bout de la ville où il vivait. C’était une journée assez chaude et en sortant de la maison, je n’avais pas très envie de marcher pendant une heure. J’ai pris conscience du dialogue dans ma tête… Aïe ! Je dois traverser la ville pour aller enseigner l’anglais. » Soudain, la conversation avec mon ami m’est revenue à l’esprit, alors j’ai décidé de changer ma façon de penser Je vais traverser la ville pour aller enseigner l’anglais ». Ouah, la gratitude m’envahit et d’une manière que je n’avais jamais ressentie auparavant. Pour la première fois depuis très longtemps, j’ai ressenti de la gratitude pour mes jambes, pour le fait que je sois en forme et en assez bonne santé pour marcher ! Non seulement cela, mais j’ai ressenti aussi de la gratitude pour mon élève, avec qui je passais du temps chaque semaine pour l’aider à améliorer son anglais – un privilège que j’avais négligé auparavant. C’est toujours important pour moi d’honorer ce que je ressens, c’est-à-dire que si je me sens fatigué ou démotivé, ce n’est pas grave. Souvent, cependant, changer mon affirmation je dois» par je vais» est le déclic dont j’ai besoin pour changer mon point de vue et mon humeur. 4. Remplacer le juge par la pom-pom girl Peut-être que le plus grand changement que j’ai réalisé a été de faire passer ma petite voix du juge à la pom-pom girl. Comme beaucoup de gens, j’étais extrêmement sévère avec moi-même et excessivement critique. Je me parlais durement chaque fois que j’échouais. Quand je me sentais faible, je me jugeais pour ce sentiment. Je me punissais aussi pour me flageller constamment ! L’auto-compassion était au cœur de ce changement me parler sur un ton plus doux, plus encourageant ; moins dictateur et davantage comme un grand-parent. Avec un peu de pratique, j’ai commencé à répondre aux échecs par des mots d’encouragement. Quand je me sentais faible, je m’accordais compréhension et empathie. Si je me flagellais, je me pardonnais et passais à autre chose. J’ai lu quelque part que ce que nous nous disons mentalement est aussi important que la façon avec laquellenous le faisons, le ton de la voix que nous utilisons. L’auteur m’a encouragé à imaginer la voix la plus compréhensive, compatissante et douce possible et à me parler avec cette voix. Cela a vraiment changé la donne. Louise Hay a déclaré Vous vous critiquez depuis des années et cela n’a pas fonctionné. Essayez de vous approuver et voyez ce qui se passe.» J’ai été surpris par ce qui s’est passé. Depuis que je me suis approuvé, je me suis moins fié à l’approbation des autres, ce qui a été libérateur, et je me suis pleinement autorisé à vivre ce que je veux vivre, car m’approuver signifie aussi conforter mes besoins et mes choix. — Une partie de moi-même souhaitait avoir compris le pouvoir de mes mots bien avant moi. Une partie de moi sait que j’ai découvert que nos mots créent notre monde exactement au bon moment, comme cela devait être. Peu importe notre âge ou l’étape où nous sommes dans notre voyage, je pense qu’il n’est jamais trop tard pour changer nos mots et changer notre monde. Avis Facebook pour l’UE! 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Enfait, ça va plus loin que ça. J.K. Rowling a littéralement changé ma vie! J'ai découvert la série quand j'avais 9 ans, en 1998, peu de temps après sa sortie en français.

Partir faire un tour de monde en solitaire, rentrer dans son 40m² parisien et écrire un roman qui trouve son audience c’est un des accomplissements de Jérôme Idelon. Oser voyager 1 semaine en auto-stop avec un panneau “Plus loin”, monter dans la première voiture qui s’arrête et dire OUI à tout pendant une semaine c’est un autre hobby de notre invité du jour. Vous l’avez compris, nous recevons aujourd’hui un aventurier profondément humain, ouvert et inspirant. Avez-vous pensé que l’auto-stop peut être une expérience sociale ? Vous risquez de changer d’avis en écoutant les nombreuses anecdotes de notre invité. Drôles, surprenantes et parfois touchantes. Dans cet épisode, vous apprendrez - Quelle est l’origine de Plus Loin 1 semaine en auto-stop en disant oui à tout ? - Quel est le lien entre l'auto-stop et le marketing ? - Jérôme dit-il vraiment “oui” à tout durant ses voyages ? - Quelle est l’origine du livre L’envol du flamant rose ? - Comment Jérôme a-t-il écrit ce livre ? - Comment trouver une maison d’édition pour son premier livre ? - Combien gagne-t-on lorsqu’on publie son premier livre ?Découvrez les nombreuses histoires de Jérôme lors de ses voyages, en écoutant ce nouvel épisode de GDIY ! TIMELINE - 000200 - Présentation de Jérôme et origines de Plus Loin - 001500 - Les rencontres de Jérôme sur les routes de France - 012900 - Le livre L’envol du flamant rose On a cité avec Jérôme Idelon plusieurs anciens épisodes de GDIY - 6 Bernard Werber – L’auteur aux 30 millions de livres vendus - 47 Jérôme Dumont – La 25eme heure – La liberté comme philosophie - 49 Joël Dicker – La vérité derrière l’affaire Harry Quebert - 93 Loïc Soubeyrand – Teads et Lunchr – Vendre sa boîte 300 millions et en monter une autre un mois plus tard avec 2,5 millions de financement et seulement un Powerpoint ? - 109 Olivier Brourhant – Mantu – 55 pays, 96% de croissance annuelle, un demi-milliard de CA en 13 ans… tous les secrets pour “Scaler” - 166 Arthur Ollier - MerciApp - Commencer et finir l’année en beauté - 175 Marc Lévy - Écrivain - Galérer avec le sourire Jérôme Idelon vous recommande de lire - Astérix et Cléopâtre - La Vie devant soi, Romain Gary - En attendant Bojangles, Olivier Bourdeaut Avec Jérôme Idelon, on a parlé de - J’irai dormir chez vous France TV - Nus & Culottés France TV - Yes Man Film, 2009 - Léna Situation - Fight Club Film, 1999 - Marina Abramović artiste - L’expérience de Milgram - Montre jamais ça à personne documentaire sur OrelSan - The Defiant Ones - Paulo Coelho - The Tim Ferris Show La musique du générique vous plaît ? C’est à Morgan Prudhomme que je la dois ! Contactez-le sur Vous souhaitez sponsoriser Génération Do It Yourself ou nous proposer un partenariat ? Contactez mon label Orso Media via ce formulaire. Vous pouvez suivre Jérôme Idelon sur Linkedin et suivre ses aventures sur sa chaîne YouTube.

Tabouultime de l’amour, la question de l’argent dans le couple se révèle moins une source de frictions qu'un malaise profond, occultant de

Je n’ai rien de plus que vous j’ai simplement eu mon déclic. Je compare souvent l’organisation à un objectif perte de poids. On ne parvient jamais à une perte de poids durable si nous n’avons pas notre déclic ».C’est exactement la même chose avec l’organisation. Vous devez avoir votre déclic afin d’avoir la motivation suffisante de changer vos anciennes fameuse charge mentale des femmes qui fait beaucoup parler d’elle ces dernières années. Selon moi la charge mentale existe et existera toujours et c’est parfaitement normal par contre il y a selon moi 2 types de charge La charge mentale dites systématique » ; en tant que maman nous aurons toujours une charge mentale du a la gestion des enfants, on s’inquiète pour eux ; on apprend à gérer les différents caractères de nos enfants. Et même en tant que femme seulement les épreuves de la vie que nous rencontrons tout au long de notre vie vont avoir un impact sur nous et engendrer une charge mentale La charge mentale que nous pouvons éviter avec une bonne organisation quotidienne Je vais vous lister des petites choses qui tout au long de la journée vous nous impacter et augmenter notre charge mentale Vous vous demandez tous les jours ce que vous allez bien pouvoir faire à manger ce soir en rentrant ?Vous vous retrouvez dans des situations de stress à devoir en même temps préparer votre repas, gérer vos enfants matin vous vous retrouvez à courir de partout, à crier sur vos enfants parce que vous ne voulez pas être en retard ce matin une fois de l’aurez donc compris la charge mentale n’est pas bonne pour vous ni pour l’ambiance générale de votre foyer ; il est donc temps de prendre conscience du problème et faire les causes pour améliorer votre quotidien et vous le faite avant tout POUR VOUS !Il y a quelques années de cela je n’étais absolument pas celle que je suis aujourd’hui. Et croyez-moi je n’ai rien de plus que vous. J’ai simplement eu ce fameux déclic » et j’ai pris les devants ; fait les causes afin de changer mon quotidien devenu si épuisant ».J’y suis aller à mon rythme, petit pas par petit pas et j’ai fini par atteindre l’objectif voulu. Mes objectifs n’étais pas seulement lié à l’entretien de mon foyer ; à un changement d’alimentation mais aussi et surtout POUR MOI. Je ne voulais pas de cette vie de stress dans laquelle j’étais à angoisser d’avance le lendemain ; je voulais profiter de mes enfants ; réussir à me détendre à apprécier les choses simples de la vie. J’avais besoin de trouver un équilibre dans ma vie de femme » ne pas seulement être maman » ou épouse » mais plutôt atteindre un équilibre au travers duquel je m’épanouirais. J’ai donc pris un énorme courage redressé mes manches et réorganiser mon foyer ; mon quotidien MA VIE peux vous dire que L’ORGANISATION ce n’est pas seulement un vêtement plié à la verticale ou un paquet de pâte renversé dans une boite c’est bien plus profond que cela. L’impact sur une vie est énorme passer de femme désorganisée à femme organisée à tout simplement changée ma vie c’est d’ailleurs pour cette raison que j’ai décidée de partager à travers les réseaux sociaux mes conseils organisations afin d’aider un maximum de femmes !J’ai commencé par lister mes objectifsJ’ai ensuite entamé un gros tri/désencombrement `J’ai poursuivi avec une organisation complète de mon foyerJ’ai terminé avec la mise en place de routine facile à mettre en place afin d’entretenir mon foyer sans que cela ne devienne une corvée !

Laissezl'amour entrer dans votre coeur et changer votre vie, car il y a dans ce monde plein de gens bons et affectueux disposés à vous rendre heureux! La Mente es Maravillosa Bien-être

Il y a 20 ans jour pour jour, ma vie a basculée. J’ai passé 10 ans à me dire Pourquoi dois-je tant souffrir » et 10 autres années à me demander Comment faire pour être heureuse » ? Aujourd’hui je peux témoigner que je le suis, autant dans ma vie personnelle que dans mon travail, et je n’aurais jamais cru que cela soit possible. Confucius disait Fais un métier que tu aimes, et tu n’auras jamais l’impression de travailler » c’est un peu ce sur quoi j’ai envie de témoigner en cette journée si spéciale pour moi. Faire un récit pour témoigner de mon cheminement lors de ces 20 dernières années… ça fait longtemps que cela me trotte dans la tête. Et je remercie le Quai des Possibles » de Saint Germain en Laye, de m’avoir encouragée à le faire de vive voix ce matin, en animant le café inspirant ». Cet endroit porte bien son nom. Puis vient l’envie de témoigner à plus large échelle sur les réseaux. Mais comment le faire sans être égocentrée, sans générer des sentiments désagréables et surtout, pour moi qui suis très ancrée dans le pragmatisme, comment faire pour que cela soit utile, pour vous qui me lisez. J’espère de tout cœur, que cela le sera. Pourquoi témoigner ? Le concept de résilience ou l’art de naviguer entre les torrents », est introduit en France par Boris Cyrulnik. Il dit en parlant des personnes résiliantes Si je parviens à changer votre regard sur moi, je changerais le sentiment que j’éprouve de moi » donc, si je peux vous faire comprendre comment j’ai pu transformer ce qu’il m’est arrivé, je change votre regard sur moi et par effet systémique je change mon regard sur moi. C’est en fait un mécanisme de défense et de survie. C’est amusant car c’est simplement en écrivant ce texte que je comprends quelque chose de nouveau. C’est parti d’un lapsus j’ai d’abord écrit si je change MON regard sur moi…. ». Cela me semblait évident car cela fait 10 ans que je travaille à changer mon regard sur moi et je vois bien que j’ai changé ce que j’éprouve de moi, et que le monde autour de moi a changé. En fait, il est écrit si je change VOTRE regard sur moi…» cela me permet de comprendre qu’il est temps pour moi de sortir mon histoire de l’ombre, maintenant que j'ai stabilisé mon propre regard sur moi. J’ai plusieurs motivations pour cela Témoigner de la possibilité qu’il puisse y avoir un autre avenir que l’on n’imaginait pas après un traumatisme, Donner de l’espoir à toutes les personnes qui traversent des périodes difficiles Pour continuer à avancer moi aussi… Pour préparer cet témoignage, je me suis replongée dans le livre de Boris Cyrulnik Un merveilleux malheur » et j’ai choisi d’axer mon texte d’une part sur l’authenticité de mon vécu et d’autre part sur quelques éclairages théoriques. Allez c’est parti… je me lance… L’extrait du livre de Boris Cyrulnik qui m’a donné le courage d’avancer est celui-ci Le Bonheur n’est jamais pur, pas plus que le Malheur. Mais dès qu’on en fait un récit, on donne sens à nos souffrances on comprend, longtemps après, comment on a pu changer un malheur en merveille, car tout homme blessé est contraint à la métamorphose. J’ai appris à transformer le malheur en épreuve Si l’un fait baisser la tête, l’autre la relève. » Le 6 mai 1999, donc, l’homme que j’avais épousé 3 semaines avant est décédé brutalement d’un accident de voiture. Au moment du traumatisme on ne voit que la blessure et j’ai vécu pendant de longues années dans un brouillard total. Vu de l’extérieur, peu de gens ont perçus cette longue descente dans les abimes du deuil, car mes actes étaient souvent paradoxaux et parfois empreint de joie extérieure J’ai compris longtemps après, qu’en fait c’est la pulsion de vie que j’ai chevillée au corps qui m’a sauvée. La pulsion de vie ET la résilience. Qu’est-ce que la résilience Le mot de Résilience est à l’origine attribué à l’industrie. La définition que nous donne le Larousse est la suivante "caractéristique mécanique définissant la résistance aux chocs d'un matériau. la résilience des métaux, qui varie avec la température, est déterminée en provoquant la rupture par choc d'une éprouvette normalisée". D’un point de vue psychologique, la résilience est la faculté à rebondir », à vaincre des situations traumatiques. C’est la capacité pour un individu à faire face à une situation difficile ou génératrice de stress. Cette faculté n’est pas innée, mais elle trouve ses racines dans l’enfance, et dans la relation que les parents entretiennent avec leur enfant. Une relation sécurisante aidera les enfants à trouver la force de s’en sortir. La résilience entraîne l’autoprotection, l'équilibre face aux tensions, l'engagement-défi, la positivité de soi, et la création. Boris Cyrulnik dit qu’ On ne pourra parler de résilience que longtemps après, lorsque l’adulte enfin réparé avouera le fracas causé par ce traumatisme » En quoi suis-je une adulte réparée ? comment y suis-je parvenue ? Je peux affirmer que je suis une adulte réparée et je sais que je suis sur le bon chemin, car je n’ai plus envie de me retourner. Je peux même arriver à dire Merci aux évènements, car ils ont enrichi ma vie et je sais aujourd'hui que ce ne sont plus eux qui la gère. J’ai fait de mes traumatismes une force, et même le cœur de de ma vie professionnelle le sens que je donne à mon métier est d’accompagner l’engagement des hommes et des femmes dans l’entreprise et dans leur vie. Selon l’encyclopédie le mot Engagement » peut être entendu au sens de conduite » ou au sens d' acte de décision », selon qu'il désigne un mode d'existence dans et par lequel l'individu est impliqué activement dans le cours du monde, s'éprouve responsable de ce qui arrive, ouvre un avenir à l'action, ou qu'il désigne un acte par lequel l'individu se lie lui-même dans son être futur, à propos soit de certaines démarches à accomplir, soit d'une forme d'activité, soit même de sa propre vie. » Concrètement, j’accompagne aujourd’hui L’engagement vis-à-vis de soi-même pour prendre sa vie en main et devenir l’architecte de sa vie, en construisant pierre à pierre sa propre cathédrale. Je garde à l’esprit cette maxime qui depuis 20 ans m’aide au quotidien Qui n’avance pas, recule » L’engagement en entreprise de la direction vis-à-vis de ses manager, des managers avec leurs collaborateurs et des collaborateurs envers leur employeur. Comment j’y suis parvenue Pas à pas….. Parfois sans vraiment réfléchir, parfois en saisissant les opportunités qui s’offraient à moi, en faisant confiance à mes proches, en suivant une intuition ou un idéal. Une des convictions qui m’a guidée était la certitude d’être faite pour accompagner et pour transmettre. Mon rêve est de contribuer à améliorer le monde et/ou contribuer à améliorer les relations entre les personnes à ma toute petite échelle. J’ai parfois l’impression d’un terrible gâchis d’énergie dans les relations, juste parce que l’on ne prend pas le temps de se comprendre ou que l’on n’a pas le bon décodeur. Les 2 pas fondamentaux qui ont contribué à changer ma vie après la fracture sont les suivants Mon 1er pas, a été le démarrage d’un travail sur moi-même je continue aujourd’hui encore à travailler à me comprendre, à me décoder, à identifier mes filtres, mes croyances, mes besoins fondamentaux, mes sources d’énergies et d’épuisement. Mon astuce pour cela quand je suis au cœur d’une tempête émotionnelle, je m’imagine dans un hélicoptère et regarde la situation, vue de très haut. Cela me permet de baisser le son de ma radio interne qui dans ce cas-là me raconte beaucoup de choses fausses et de prendre le temps d’analyser avec distanciation et discernement. B. Cyrulnik, dit que le contrôle des affects est associé à la sublimation de notre vie. C’est-à-dire ni colère ni désespoir, ni ruminations, ni passages à l’acte brutal pour satisfaire des besoins immédiats. Le développement personnel me permet de ressentir, de vivre et de transmettre mes émotions sans que ce soit elles qui dictent mes comportements. Récemment encore un manager témoignait de la difficulté qu’il avait avec le sujet des émotions dans le management. C’est vrai… c’est un travail de longue haleine pour faire d’elles nos alliées et … notre puissance. Mieux vous vous comprenez vous-même ainsi que vos émotions, plus vous êtes amoureux de ce qui est » Spinoza Mon 2ème pas, en 2009, a été ma première reconversion professionnelle, vers le métier de formateur pour adulte. C’est à cette époque que je découvre le mot de résilience, qui d’un coup d’un seul, a éclairé tout mon parcours. J’étais tellement joyeuse de comprendre cela, que j’ai souhaité le partager avec l’ensemble de ma promotion. J’avais avancé dans mes deuils entre temps j’ai traversé un autre deuil car j'ai aussi perdu un bébé au 7ème mois de maternité et j’étais prête à partager cela avec les autres. Ce que je n’ai pas mesuré à l’époque, c’est que les gens n’étaient pas prêts à recevoir. A mes dépends j’ai découvert que dans l’avancée d’un deuil, une 1ère étape consiste à travailler vis-à-vis de soi-même pour passer l’étape du déni, puis de la révolte et du désespoir. une 2ème étape est d’affronter le regard et le jugement des autres aussi mal à propos soient-ils, j’ai entendu beaucoup de blâmes quand j’ai refait ma vie. D’ailleurs l’environnement autour de moi a changé à 2 moments clés au moment de l’accident pour certain, être présent dans le deuil est une mission impossible, alors que d’autres sont devenus des vrais amis depuis grâce à leur présence et leur tolérance. quand j’ai reconstruit ma vie ce n’était plus possible/acceptable voire tolérable pour certaines personnes d’être à mes côtés dans la reconstruction vers un autre bonheur, alors que d’autres m’accueillaient et me découvraient telle que j’étais à ce moment-là. une 3ème étape encore est d’admettre que tout le monde n’est pas en capacité de recevoir un tel témoignage. Ne pas prendre en compte la capacité des autres à entendre, c’est prendre le risque de recevoir un violent retour de bâton. Je ne pouvais donc pas partager si facilement mon histoire… Toutes ces étapes sont à elles seules une accumulation de petits deuils, qui viennent se superposer, et qu’il faut franchir aussi pour grandir. J’imagine que si vous, lecteur, êtes encore en train de lire ce texte, c’est que vous avez choisi de rester, et je vous en remercie ;- Ces 2 immenses pas franchis au bout de 10 ans !, les 10 années qui ont suivies et toutes celles qui vont suivre encore je l’espère sont des découvertes et des transformations grâce aux formations données et reçues, grâce à toutes les belles personnes que j’ai pu rencontrer, celles qui m’ont fait confiance en me lançant dans le milieu de la formation merci Cinaps et merci pour cette photo aussi, Nathalie et Nathalie, Eric, Dominique, Catherine et grâce à tous les participants que j’ai pu accompagner et qui m’ont tous permis d’une manière ou d’une autre de grandir et de trouver chaque jour un peu plus une force de vivre dans la joie je suis toujours émerveillée par cela. J’ai toujours animé chacune de mes formations comme si elle était la 1ère, et en suivant un accord toltèque qui est de toujours faire de son mieux ». Je peux dire avec certitude que l’Amour de mon métier, m’a sauvé. D’où vient la force de résilience ? La force de résilience, vient de la force de l’attachement, nous dit Boris Cyrulnik. Attachement qui s’est construit à chaque étape de l’histoire de l’enfant. Les chercheurs d’Harvard, ont pu étudier pendant 50 ans, 204 étudiants d’Harvard à partir de 1938. Ils ont démontré que les adultes épanouis sont ceux qui orientent leur force de vivre vers des activités socialement valorisées artistiques, intellectuelles ou morales. Pour tous les blessés de l’âme cela permet d’éviter le refoulement et de s’exprimer en entier. Quand j’ai décidé de changer de métier il y a 10 ans, je n'en n’avais aucune conscience, je n’avais pas non plus la moindre idée de là où tout cela allait m’amener. J’ai juste fait une première action, planté une petite graine, que je n’ai cessé d’arroser. Tout le monde en est capable. Le plus difficile est le premier pas de l’action, et pour cela je conseille à tous ceux qui ont du mal à le franchir d’oser demander de l’aide. Il faut OSER d’abord et DOSER ensuite. Pour terminer mon témoignage et reprendre l’idée de la force de l’attachement de Cyrulnik, ce qui m’a permis d’être résiliante, c’est l’Amour L’amour inconditionnel de mes parents et de mes sœurs, L’amour de celui qui est aujourd’hui mon conjoint et le père de mes enfants tu as été un socle pour moi dès le début, dans tous ces deuils petits et grands qui ont jalonnés notre vie et dans toutes nos tempêtes. Merci à toi je te dois beaucoup. L’amour de mes 2 belles familles, qui ont été et sont aussi une vraie famille pour moi. J’ai beaucoup de chance Avec une pensée très particulière pour mon beau père Jacques, qui a été un pilier et l’exemple même de la générosité et de la grandeur d’âme. Sans cela, je n’aurai pas pu faire preuve de résilience, car ce qui détermine la qualité de la résilience, c’est la qualité du lien que l’on peut tisser avant le traumatisme et tout de suite après. N’oubliez pas chers lecteurs, de revenir sur vos fondamentaux, de cultiver l’amour de ceux qui sont des piliers dans votre vie. Ne laissez pas votre quotidien vous envahir au point de les négliger. C’est maintenant, tout de suite, sans même terminer la lecture de ce texte, que vous pouvez faire un geste pour dire aux gens que vous aimez, que vous les aimez. Après… c’est trop tard. Mais l’amour a ceci de commun avec le feu disait Jean Simard il faut l’entretenir et l’alimenter. Il n’existe aucune jolie fleur qui puisse pousser si on ne l’arrose pas régulièrement. Etre heureux c’est quoi ? Ce n’est pas ce qui nous arrive dans la vie qui nous rend heureux ou malheureux c’est ce que l’on en fait. Notre histoire n’est pas un destin. Ce qui est écrit ne l’est pas forcément pour toujours. "Etre heureux ne signifie pas que tout est parfait. Cela signifie que vous avez décidé de regarder au-delà des imperfections" Aristote Enfin, cette parabole du papillon illustre vraiment bien la résilience et ce qu’elle permet Un homme trouve le cocon d’un papillon, un matin, il voit une petite ouverture apparaître et il passe plusieurs heures à observer le papillon qui essaie de sortir par le petit trou. Soudainement, le papillon ne semble plus faire de progrès. C’est comme s’il était à la limite de sa capacité et qu’il ne pouvait pas aller plus loin. L’homme décide donc d’aider le papillon. Il prend des ciseaux et coupe le reste du cocon. Le papillon en sort ensuite facilement. Mais il se produit quelque chose d’étrange. Le corps du papillon est gonflé et ses ailes sont ratatinées. L’homme continue à observer le papillon et s’attend à ce qu’à tout moment, les ailes grandissent pour soutenir le corps qui se contractera avec le temps. Mais cela ne se produit pas. Le papillon passera en effet le reste de sa vie à se traîner, avec un corps gonflé et des ailes déformées. Il n’arrivera jamais à voler. Ce que l’homme, dans son empressement et animé par des sentiments de compassion, n’a pas compris, c’est que la constriction exercée par le cocon et la lutte exigée du papillon pour sortir par la petite ouverture étaient les moyens prévus pour pousser le liquide du corps du papillon vers ses ailes pour qu’il soit prêt à prendre son envol une fois sorti du cocon. Parfois, les luttes sont exactement ce dont nous avons besoin dans la vie. Si le ciel nous permettait de traverser la vie sans obstacles, nous deviendrions infirmes. Nous ne serions pas aussi vigoureux que nous aurions pu l’être. De plus, nous ne pourrions jamais prendre notre envol. Merci à vous de m’avoir lue jusqu’ici, J’espère que ce témoignage a pu être source d’inspiration pour vous, peut être vous donne t’il envie à votre tour de raconter un évènement de votre vie, et la manière dont vous vous y êtes pris pour en sortir grandi. Très belle journée Alexia DUMONCEAU Vousêtes au bon endroit ! Vous trouverez tout ce qu'il vous faut pour comprendre le livre : résumé détaillé, une présentation des personnages ainsi qu' une analyse de l’œuvre par exemple. Bonne lecture. Réponses du questionnaire de compréhension de Vendredi ou la Depuis que je fais du coaching, cette question ou plutôt cette interrogation revient de façon récurrente Je change de vie oui mais, et les autres ? Que vont-ils en penser ? Vont ils me soutenir ? Et si cela ne leur convenait pas ? … Lorsque j’ai décidé de changer toutes mes habitudes il y a maintenant plus de 3 ans, j’ai été confrontée à une multitude de freins, de résistances, de jugements de la part de mon entourage [ et encore, je ne pense pas honnêtement avoir été confrontée au pire ] Entre les personnes qui pensent que vous êtes subitement devenu déprimant / triste / pas drôle il n’y a pas de mention inutile parce que vous avez décidé de vous sevrer de votre cuite quotidienne oui, vous avez bien lu, ceux qui pensent que le végétarisme se résume à manger des graines et des légumes crus arf , ceux encore qui ricanent en vous demandant ” si vous comptez perdre un os à force de courir ” ou encore qui vous demandent “combien de temps va durer votre régime”. Vous n’êtes pas rendus. Et pourtant, je peux vous le dire d’expérience, cela passe. Et les personnes dubitatives voire récalcitrantes au départ se montreront peu à peu intéressées par votre nouveau mode de vie. En fait, je crois que l’essentiel est de faire les choses pour soi et surtout de faire des choses qui nous ressemblent et qui nous rendent heureux / bien dans notre peau et dans notre tête. Un exemple tout bête ne vous mettez pas au fitness ou ne vous inscrivez pas dans une salle de sport parce que c’est à la mode ! Si vous préférez faire toutes les semaines de la natation ou bien de l’escalade, foncez, prenez y du plaisir, rayonnez ! C’est cela que verra votre entourage. Ne devenez pas végétarien / vegan pour faire “bien”. Faites le si et seulement si cela vous permet d’être en phase avec vos convictions, avec qui vous êtes et surtout avec la personne que vous avez envie de devenir. Lorsque l’on est bien, en phase, serein, cela se ressent et l’entourage le remarque. Et les plus réticents / réfractaires du début ne peuvent alors qu’admettre que ce changement est bénéfique pour vous [ et donc revoir leur jugement ou du moins, le taire ]. En un mot faites les choses pour vous, soyez votre propre moteur. Et vous verrez, les autres suivront [ ou pas, mais après tout, ce n’est pas votre problème ! ] Photo Pixabay N4iRL.
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