Unchien peut aussi se lĂ©cher Ă cause de troubles intestinaux (maux de ventre par exemple). Une Ă©tude a dâailleurs Ă©tĂ© menĂ©e sur ce sujet dans le âJournal of Veterinary Behavior: Clinical Applications and Researchâ entre juin et aoĂ»t 2012. Pour Ă©carter le trouble digestif rĂ©pĂ©tĂ©, il est conseillĂ© de faire un bilan sanguin ainsi quâune coprologie. 2- Le stress. Le stressHistoires Tabous Le plus croustillant des histoires coquines, câest ici!!!Câest trois filles qui ne savent pas faire lâamour, alors une des trois filles qui demande Ă sa mĂšre si le soir elles peuvent faire lâ mĂšre dit oui. Les trois filles vont donc chatter sur un site internet et passent des petites soir elles eurent trois rĂ©ponses et le lendemain les trois garçons se rendent chez elles et ils vont dans leurs chambres respectives, alors la mĂšre monte voir si tout se passe bien et Ă©coute Ă la premiĂšre porte et elle entend aie aie!!! » et Ă la deuxiĂšme hi hi hi!!! » et Ă la troisiĂšme elle nâentend lendemain elle demande aux trois filles comment câĂ©tait dĂ©roulĂ© leur soirĂ©e, la premiĂšre rĂ©pond Une petite foufoune et un gros zizi, ça fait mal, la deuxiĂšme rĂ©pond un petit zizi et une grosse foufoune, ça chatouille et la troisiĂšme dit on ne parle pas la bouche pleine !Un ex va au mariage de son ancienne la soirĂ©e, lâex va voir le nouveau mariĂ© et lui demande dâun air arrogant â Comment tu trouves ça, de rentrer dans du stock usagĂ©Le nouveau mariĂ© le regarde droit dans les yeux et sans se dĂ©monter, il lui rĂ©pond â Câest stupĂ©fiant ! PassĂ© les 6 premiers centimĂštres, câest flambant neuf !Un homme dâaffaire monte Ă bord dâun train et se retrouve assis Ă cĂŽtĂ© dâune superbe remarque quâelle est en train de lire un livre sur les statistiques lâinterroge sur ce sujet, et elle rĂ©pond â Câest un livre trĂšs intĂ©ressant. Ainsi les Indiens sont ceux dont le pĂ©nis est le plus long, et les bretons sont ceux qui savent le mieux sâen servir.â Au fait je mâappelle Florence. Et vous?â Geronimo LE GENNEC ! EnchantĂ© de vous prĂȘtre et une nonne sont dans une tempĂȘte de neige. AprĂšs un moment, ils trouvent une petite ils se prĂ©parent Ă y a une pile de couvertures et un duvet sur le sol, mais seulement un lit. Gentleman, le prĂȘtre dit â Ma sĆur, vous dormirez dans le lit, et je dormirai sur le sol, dans le quâil venait juste de fermer son duvet et commençait Ă sâendormir, la nonne dit Il ouvre la fermeture de son duvet, se lĂšve, prend une couverture et la pose sur nouveau, il sâinstalle dans le duvet, le ferme et se laisse sombrer dans le sommeil, quand la nonne dit encore â Mon pĂšre, jâai toujours trĂšs se lĂšve Ă nouveau, met une autre couverture sur elle et retourne se coucher. Juste au moment oĂč il ferme les yeux, elle dit Cette fois, il reste couchĂ© et dit â Ma soeur, jâai une idĂ©e nous sommes ici au milieu de nulle part, et personne ne saura jamais ce qui sâest passĂ©. Faisons comme si nous Ă©tions mariĂ©s. Enfin exaucĂ©e, la nonne rĂ©pond â Alors tu lĂšves ton cul et tu prends toi mĂȘme ta ⊠de couverture, connasse !ATTENTION CONTENU RESERVE AUX ADULTES ENTRER SortirEn poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies pour vous garantir la meilleure expĂ©rience sur notre site est un portail sur les histoires Ă©rotiques en tout genre, des confessions secrĂštes pas facile Ă dĂ©voiler. Cependant sur Internet, en gardant lâanonymat, on sâouvre plus et on dĂ©cide de partager ses secrets cochons aux internautes via des rĂ©cits Ă©rotiques âŠLe site est rĂ©servĂ© exclusivement aux petits coquins qui adorent se dĂ©voiler Ă lâĂ©crit. De toute Ă©vidence, raconter leurs aventures dâun soir trĂšs hot ou leurs expĂ©rience sexuelles les plus folles, sans tabou, ne leur pose aucun soucis ! Au contraire, yâen a qui le font dans le but de se faire un maximum dâamis trĂšs intimes ! Tu te reconnais dans ce que je viens de dire ? Alors quâattends-tu, inscris-toi !! De plus, nous vous conseillons le top des sites de confessions , vous allez tomber amoureux de ce site intimeâŠPour finir, vous pouvez aussi visiter notre second site qui est pour le moment encore ouvert Et sans oublier notre portail dâhistoire Ă©rotique quelques jours, je suis devenue une rĂ©elle accroc du site de confessions coquines ! Je passe toutes mes soirĂ©es dessus. Et je prends Ă©normĂ©ment de plaisir Ă lire les pĂ©ripĂ©ties sexuelles de mes congĂ©nĂšres. En plus, je peux dialoguer avec les auteurs qui mâont le plus excitĂ© ! ATTENTION CONTENU RESERVE AUX ADULTES ENTRER SortirRencontres discrĂštes prĂšs de chez vous En visitant ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies qui assurent le bon fonctionnement de nos services afin de vous garantir la meilleure expĂ©rience sur notre site OkUne jeune bourgeoise naĂŻve, des penchants refoulĂ©s et une servante perverse !Je mâennuyais en ce manoir. VoilĂ vingt ans maintenant que jây habitais. La vie y Ă©tait douce pourtant. La richesse de mes parents me prĂ©servait du besoin de faire autres choses que ce qui me plaisait. Jâavais de nombreux serviteurs pour combler mes besoins. De nombreuses amies venaient me distraire. Je sentais bien quâelles cherchaient Ă attirer mes faveurs mais cela ne mâimportait guĂšre câĂ©tait mieux que la solitude. Je passais mes journĂ©es Ă lire et mâinstruire. A me balader dans notre grande propriĂ©tĂ©, lâombrelle Ă lâĂ©paule. Ces derniĂšres annĂ©es mon pĂšre amenait parfois quelques jeunes messieurs quand il passait. Je nâavais pas compris au dĂ©but. Mais Adeline, la jeune fille dâune de mes servantes et ma seule vraie amie, mâavait expliquĂ© quâil me cherchait un partie et que je serais bientĂŽt mariĂ©e. Cela sema la confusion dans mon esprit. Je ne dĂ©sirais point ĂȘtre la femme de ces hommes. Adeline mâexpliqua quâil me faudrait me donner Ă eux. Je lui demandais ce quâelle entendait par lĂ . Elle me dĂ©crit alors longuement ce que je serais amenĂ© Ă faire. Des fellations, lui offrir ma poitrine, me laisser pĂ©nĂ©trer⊠Je frissonnais Ă cette idĂ©e. Adeline rit de ma naĂŻvetĂ©. Puis elle se fit douce. Ses mains caressĂšrent mon corps. Je sentais que cela nâĂ©tait pas acceptable. Mais je nâarrivais pas Ă la repousser. Je sentis une chaleur dans mon ventre, je nâarrivais plus Ă penser. Puis mes cuisses devinrent humides⊠Je ne sais pourquoi mais je saisis son visage et posais mes lĂšvres sur les siennes. Avant mĂȘme que je comprenne ma langue forçait lâentrĂ©e de sa bouche. Je voulais quâelle me sauve de ses hommes. Elle retira ses mains et dit, le souffle court â Il ne faut pas, MaĂźtresse. Ce nâest pas bien. » Elle ne mâappelait plus MaĂźtresse depuis longtemps. Mais ce mot rĂ©veilla quelque chose en moi. Quelque chose que je ne compris que bien plus tard. Je mâaperçus que sa main sâĂ©tait glissĂ©e sous mes jupons et caressait ma jambe. Je voulais fuir, la gifler pour son audace. Je nây arrivais point. Elle finit par lâenlever dâelle-mĂȘme, Ă mon grand soulagement. Et pourtant jâavais envie de sentir Ă nouveau sa main. Jâallais lui demander mais les mots ne sortirent heureusement pas de ma bouche. Nous continuĂąmes notre ballade dans un silence devint distante aprĂšs cela. Jâen fus peinĂ©e. Jâavais envie dâelle, de ses mains, de ses lĂšvres. Souvent je rougissais en la voyant. Et la chaleur envahissait Ă nouveau mon ventre. Je dĂ©couvris aussi la masturbation. Un soir oĂč je nâarrivais pas Ă dormir je me mis Ă penser Ă elle. Elle mâobsĂ©dait. Je sentis mes cuisses devenir humide. La curiositĂ© me fis soulever les draps, puis ma chemise de nuit. Pour la premiĂšre fois je regardais avec intĂ©rĂȘt mon sexe. Je remontais le chemin de ce liquide Ă©trange et mes doigts se posĂšrent entre mes lĂšvres intimes. Je gĂ©mis sans trop savoir pourquoi. Et mes doigts sâagitĂšrent. Je nâarrivais plus Ă les stopper. Ils se faisaient de plus en plus impudiques alors que mon autre main serrait les draps. Je susurrais le prĂ©nom de celle qui me hantait, de celle qui me fuyait aprĂšs mâavoir Ă©veillĂ©e au dĂ©sir. Je ne mâaperçus mĂȘme pas quâils entraient en moi⊠Une lĂ©gĂšre douleur. Un cri. Je ressortais mes doigts et les contemplais ils Ă©taient lĂ©gĂšrement ensanglantĂ©s. JâĂ©tais haletante. Un instant je craignis que cela soit ce dont mâavait parlĂ© Adeline avais-je Ă©tĂ© tellement excitĂ©e que je mâĂ©tais moi-mĂȘme dĂ©pucelĂ©e ? Avais-je pĂ©nĂ©trĂ© si profondĂ©ment ? Jâeus peur tout Ă coup elle mâavait dit que cela ne devrait pas avoir lieu avant mon mariage. Allais-je passer pour une catin ? Je regardais mon entrecuisse pas de tĂąche de sang. Juste une large tĂąche humide⊠Il faudrait que je demande Ă Adeline. Penser Ă elle rĂ©activa mon dĂ©sir et mes mains vagabondĂšrent sur mes seins. Je me dĂ©shabillais en toute hĂąte et me mis Ă quatre pattes. Puis je me caressais encore et encore, visitant les moindres recoins de mon corps. Jâosais mĂȘme effleurer mon anus et ressentis une pointe dâexcitation. Enfin une vague me submergea. Je hurlais mon plaisir sans retenue alors que mon corps Ă©chappait Ă mon contrĂŽle. Les spasmes se calmĂšrent peu Ă peu et me laissĂšrent vidĂ©e, le cul en lâair et le visage Ă©crasĂ© dans mon oreiller. Jâentendis alors un tumulte, des voix qui sâapprochaient. Je paniquais et me rhabillais Ă toute vitesse avant de mâenrouler dans mes draps. La porte sâouvrit et une de mes servantes, la mĂšre dâAdeline, apparut, paniquĂ©e elle aussi â Mademoiselle ? Que se passe t-il ? » Je bafouillais â R⊠Rien⊠Un mauvais rĂȘve. » Elle soupira de soulagement puis vint sâasseoir Ă mes cĂŽtĂ©s. Elle eut un sourire maternel, le genre de sourire que ma mĂšre ne mâavait jamais adressĂ©. Elle caressa mes mĂšches collĂ©es Ă mon front par la sueur. Je rougis en pensant Ă ce qui avait provoquĂ© cet Ă©moi⊠Je sentis la chaleur mâenvahir. Je me surpris Ă dĂ©sirer cette femme. Je dis sans mĂȘme rĂ©flĂ©chir â Adeline est lĂ ? » Elle parut surprise â Euh⊠Oui. Vous dĂ©sirez que je lâappelle, Mademoiselle ? » Je rougis de mon audace. Puis je rĂ©flĂ©chis Ă toute allure et rĂ©pondis â Oui. Je⊠Jâai besoin de raconter mon cauchemar Ă quelquâun. » Elle eut Ă nouveau ce sourire affable. Elle se leva et dit juste â Je comprends. Je lâappelle immĂ©diatement, Mademoiselle. Bonne nuit. » â Oui, merci, GisĂšle. » â De rien, Mademoiselle. Vous ĂȘtes notre petite princesse, nous ferions tout pour vous ! » Je rougis violemment alors que je mâimaginais soulevant le drap et lui disant Alors lĂšche-moiâŠâ. Puis je balbutiais â M⊠Merci. »Adeline arriva rapidement. Elle paraissait soucieuse. Elle demanda â Ăa ne va pas ? » Je rĂ©pondis sans dĂ©tour â Je me suis touchĂ©e. Je crois que je me suis dĂ©pucelĂ©e⊠» â Pourquoi tu penses cela ? » Je fus Ă©tonnĂ©e quâelle ne sâoffusque pas de mon comportement Ă©tais-je donc si naĂŻve ? Lâenvie me vint de lui demander de me faire tout dĂ©couvrir des choses du sexe. De me les raconter, me les faire vivre⊠Je finis par dire â Je⊠Jâavais du sang sur le bout des doigts⊠» Je sentis son regard. Je devinais son dĂ©sir Ă lâidĂ©e que je me sois doigtĂ©e. Elle dis enfin, dâune voix anormalement hachĂ©e â Tu as beaucoup saignĂ©e ? Il y en a sur les draps ? » â Non. Juste sur le bout des doigts⊠» Elle prit ma main et fronça les sourcils â Je ne vois rien. » Je rougis violemment â Je⊠Je les ais lĂ©chĂ©s⊠» Un silence. Je ressentais son envie par tous les pores de sa peau. Son souffle, son intonation, ses joues qui rosissaient, ses yeux brĂ»lants. Tout mâindiquait quâelle me dĂ©sirait. Ou peut-ĂȘtre nâĂ©tait-ce que le fruit de mon imagination⊠Sa voix me sortit de ma torpeur â Tu as eu mal ? » â Non. » Elle me serra fort contre elle â Ne tâinquiĂšte pas, alors, je suis sĂ»re que tu es encore pucelle. » â Ah⊠Vraiment ? » Bizarrement je ressentais une pointe de dĂ©pit jâaurais tellement voulu lui prouver que jâĂ©tais femme⊠Elle me regarda et remarqua mon air soucieux. Elle demanda â Il y a autre chose ? »JâhĂ©sitais longuement. Je nâosais la regarder. Sa voix Ă nouveau â MaĂźtresse ? » A nouveau ce mot⊠Il y avait quelque chose qui nâallait pas cependant. Je me retournais dâun coup et posais ma main entre ses cuises, sur sa jupe. Je murmurais â Je veux vous faire jouir⊠» Elle resta figĂ©e. Enfin elle dit â MaĂźtresse, je⊠» â Ne mâappelez plus MaĂźtresse. Maintenant câest moi qui vous appellerais ainsi. Moi je serais juste votre chienne. » â Tu nây penses pas ! Te rends-tu compte ? » Jâavais dit cela sans rĂ©flĂ©chir. Le mot de chienne mâavait paru naturel. Elle Ă©tait ma MaĂźtresse, jâĂ©tais sa chienne. Jâavais envie quâelle me flatte, quâelle me ballade dehors. Jâavais envie dâĂȘtre Ă ses pieds. Jâavais envie dâĂȘtre tenue en laisse. Je voulais la lĂ©cher des pieds Ă la tĂȘte. JâĂ©tais devenue folle. Folle de dĂ©sir. Alors je repris mes caresses, tentant de me frayer un chemin jusquâĂ son intimitĂ©. Je me perdis dans les couches de tissu. Je lâembrassais. Elle ahanait et balbutia â Non, non⊠ArrĂȘte⊠» â Sâil vous plait, MaĂźtresse, laissez-moi vous faire jouir⊠» Jâavais enfin trouvĂ© le chemin. Je sentis quâelle aussi Ă©tait humide malgrĂ© ses rĂ©ticences. Alors je glissais ma tĂȘte entre ses jambes. Elle gĂ©mit alors que ma langue glissait sur son sexe. Je le savourais. Jâaurais du avoir honte, ĂȘtre dĂ©goutĂ©e. Mais je nâĂ©prouvais quâun immense dĂ©sir. Je pensais alors que câĂ©tait par cet endroit quâelle urinait. Quâelle ne sâĂ©tait peut-ĂȘtre mĂȘme pas lavĂ©e depuis la derniĂšre fois, Ă©tant une simple servante. Mais cela ne fit que mâexciter plus, mâinciter Ă la lĂ©cher plus profondĂ©ment. Elle tenta de me repousser â Mademoiselle, arrĂȘte⊠» â Ne mâappelle plus Mademoiselle non plus. Câest mon dernier ordre. Maintenant je suis ta chienne. Appelle-moi ainsi. » â Je⊠Je ne peux pas. Câest trop humiliant. » â Câest vrai. Alors donne moi un nom. » Elle resta haletante. Enfin elle lĂącha â Beth, arrĂȘte immĂ©diatement. Ta MaĂźtresse te lâordonne ! » Beth. CâĂ©tait dĂ©sormais mon nouveau nom. Le seul que je reconnaĂźtrais comme mâappartenant vĂ©ritablement⊠Je mâarrĂȘtais avec rĂ©luctance. Mais je ne pouvais lui dĂ©sobĂ©ir. Je lui adressais un regard suppliant. Mais le sien se fit dur. Elle rajusta sa robe et partit sans mot dire. Je voulus la retenir. Ma main sâĂ©tendit puis je mâarrĂȘtais je nâavais pas le droit de la retenir dĂ©sormais. Je mâĂ©croulais en pleurant, mâapercevant que je ne pourrais plus lui ordonner de me toucher si lâenvie mâen prenait. Puis le plaisir de lâappartenance me prit et je jouissais Ă nouveau en murmurant son nomâŠA partir du lendemain celle qui Ă©tait maintenant ma MaĂźtresse mâĂ©vita encore davantage. JâĂ©tais terriblement dĂ©primĂ©e. Souvent lâenvie de pleurer me prenait. Mais je nâavais pas le droit elle seule pouvait mâautoriser Ă souffrir. Lâanniversaire de mes vingt ans approchait et les prĂ©paratifs me permirent dâoublier un peu mon malheur. Mais un jour la mĂšre dâAdeline vint me voir. Elle me demanda alors de sa voix douce qui avait bercĂ© mon enfance â Vous vous ĂȘtes disputĂ©es ? Câest pour cela que vous ĂȘtes si triste, Mademoiselle ? » â N⊠Non⊠» â Allons, je vois bien que vous vous Ă©vitez ! » â Ce nâest pas moi ! Câest elle qui ne veux plus de moi ! » JâĂ©clatais en sanglots entre ses bras. Elle me serra doucement et je sentis sa poitrine gĂ©nĂ©reuse. Une irrĂ©pressible envie de la tĂ©ter me prit. Je mâĂ©loignais alors. Elle dit en souriant â Tu veux que je lui parle ? » â Oui⊠Elle me manque tellement⊠» â Dâaccord, compte sur moi. » Elle se leva et je lâattrapais par le bras. Je lui dis, paniquĂ©e â Ne la rĂ©primandez pas, dâaccord ? Câest de ma faute, tout est de ma faute ! Jâai Ă©tĂ© mĂ©chante ! » Je faillis ajouter Une mĂ©chante chienne !â mais je me retins. Elle me regarda dâun air grave avant de dire â Je vous vois mal ĂȘtre Ă la source dâun conflit, Mademoiselle. Câest plutĂŽt le genre de ma fille⊠» Je mâeffondrais Ă ses pieds, en larmes â Non, Madame, non ! Tout est de ma faute ! Dite-lui que je suis dĂ©solĂ©e elle ne veut plus mâĂ©couter⊠» Elle fronça les sourcils, sentant bien que je cachais quelque chose. Je ne lâappelais pas Madame dâhabitude⊠Elle soupira enfin et sâaccroupit devant moi pour me cĂąliner. Elle dit doucement â Calmez-vous, Mademoiselle, je ne la gronderai pas. Je veux juste vous revoir sourire toutes les deux. Elle aussi est devenue sombre ces derniers temps⊠Je suis sĂ»re que tu lui manques aussi. » Je me laissais aller dans ses bras et fini par mâendormir en murmurant Merci, merci⊠je voudrais tant lui appartenir Ă nouveauâŠâ. GisĂšle ne comprit pas, bien sĂ»r, mais peu importait jâallais bientĂŽt revoir ma MaĂźtresse !Le soir mĂȘme Adeline vint dans ma chambre. Je lâaccueillis avec un large sourire. Puis je me dĂ©shabillais et vint Ă ses pieds, marchant Ă quatre pattes. Je me frottais sur ses jambes. Elle ne dit rien. Je murmurais â Merci, MaĂźtresse. Merci dâĂȘtre venue. » Je sentis son pied contre mon Ă©paule et elle donna un coup sec, me projetant en arriĂšre, sur le dos. Puis elle mâĂ©crasa la gorge. JâĂ©touffais. Elle dit dans un sifflement â Salope ! Tu as osĂ© utiliser ma mĂšre pour satisfaire tes besoins ! » Je parvins Ă bafouiller â M⊠Mais⊠Non, je ne lâai pas touch⊠» Elle me cracha au visage â Je ne te parle pas de ça, imbĂ©cile ! Heureusement que tu ne lâas pas touchĂ©e ! Je ne tâaurais pas pardonnĂ© une telle chose ! » Elle accentua sa pression, mon cou craqua lĂ©gĂšrement. Jâeus un rictus de douleur mais supportais ma punition sans me plaindre. Je serrais les dents. Elle se pencha vers moi, sâappuyant sur son genoux â Tu voulais me voir mais je ne le dĂ©sirais pas. Alors tu as utilisĂ© ma mĂšre. Tu es une sale manipulatrice vicieuse ! » Tout son poids reposait sur ma gorge la douleur Ă©tait atroce. Jâavais les larmes aux yeux et dis dans un gargouillis â Par pitiĂ©, MaĂźtresse, jâai trop mal⊠» Elle soupira et relĂącha la pression. Je toussais et crachais en mâasseyant. Elle me cracha Ă nouveau dessus en lĂąchant un PĂ©tasseâ qui me blessa plus que ne lâaurait fait nâimporte quelle lame. Je me mis Ă pleurer et Ă geindre. Elle soupira Ă nouveau et me traĂźna vers le lit en me tirant par le bras. Puis elle mâallongea dessus. Cette fois-ci elle me prit par les cheveux et je criais. Elle mâignora. Elle souleva sa jupe et posa sa chatte sur mes lĂšvres en ordonnant â LĂšche, sale gouine. » JâĂ©tais si heureuse. Je mâactivais sur sa fleur, en savourant les pĂ©tales. Jâavais rĂȘvĂ© si souvent ce moment en me touchant⊠Mes mains glissĂšrent vers ma chatte. Elle dit dâun ton sec â Ne te touche pas ! » Jâagrippais les draps. Elle gronda â Et ma chatte ? » Je balbutiais des excuses puis la masturbais consciencieusement. Je fus rĂ©compenser par sa mouille dĂ©goulinant sur mon visage. Elle ricana â Tu vois que tu peux quand tu veux, petite chienne ! » â Bien sĂ»r, MaĂźtresse. Quand il sâagit de vous plaire je suis prĂȘte Ă tout ! » Je continuais longuement, savourant sa chatte et chacun de ses gĂ©missements. Mon intimitĂ© me brĂ»lait. Je dis dâune petite voix â MaĂźt⊠MaĂźtresse⊠Tou⊠Touchez-moi, sâil vous plait. Par pitiĂ©. » Elle glissa un doigt en moi. Je gĂ©mis. Elle se lĂ©cha les doigts avant de dire, goguenarde â Comme ça, petite pute ? » â Ou⊠Oui⊠Ah ! » Elle venait de recommencer. Je nâen pouvais plus. Elle pressa ma tĂȘte sur sa chatte et dit dâun ton sĂ©vĂšre â LĂšche ! » Elle passa une derniĂšre fois sa main sur mes lĂšvres intimes. Puis plus rien. Jâavais beau tendre les hanches, la supplier, la lĂ©cher de toutes mes forces, rien nây fit. Je pleurais de frustration alors quâelle gĂ©missait de plaisir en se caressant. Enfin elle sâallongea Ă mes cĂŽtĂ©s et mâĂ©trangla en murmurant â TrĂšs bien, Beth, tu mâas bien lĂ©chĂ©e. Tu sais que je vais bientĂŽt jouir ? Regarde⊠» Elle baissa les yeux et moi aussi. Nous regardions toutes deux ses doigts Ă©cartant sa chatte dĂ©trempĂ©e. Elle murmura de nouveau âJessa Rhodes NakedDelivery Girl PornJapanese Massage Sex Videos
Unchien se lĂšche pour faire sa toilette, pour nettoyer une blessure. En fait, quand il se lĂšche, câest un peu comme s'il se donnait un bain. Le fait de se lĂ©cher apaise des dĂ©mangeaisons ou une zone sensible ou blessĂ©e. Le chien peut aussi se lĂ©cher pour manifester un besoin dâapaisement, notamment aprĂšs une agression. En effet, le