Cetteannée dans les Landes, la chasse au sanglier est anticipée. Elle est ouverte depuis ce week-end, le samedi 1er juin.La préfecture des Landes a GibierArmesDétailsDifficulté physiqueFacileNiveau d'autonomiePartiellement pris en chargePrestations annexesDescriptionL'acca de GAILLERES vous propose de découvrir la chasse au sanglier sur son territoire gratuitement pour vous jeunes permis. Pour la date de chasse il suffira de vous rapprocher du président qui vous accueillera dans les meilleures conditions. Cette offre vous est proposée par addi-chasse. Bonne chasse dans les LandesCaractéristiques du territoireOuvert Rejoignez-nous pour réserver
Surun territoire ouvert de 180 hectares dans le Loiret chasse aux sangliers principalement dans les maïs environ 70ha et 11ha de bois Programme : arri 4529 vues au total, 0 vues aujourd'hui . €165. chasse petit gibier . Chasse à la journée | aventurehunting | 2 août 2022. Territoire de 180 hectares, de bois naturel, terres agricoles, friches, haie et culture à gibiers. Programme d
Aller au contenu Pressez Entrée Tout d’abord, un arrêté du 4 septembre 2018 prévoyait à titre expérimental l’emploi de chevrotines pour le tir au sanglier dans le département des Landes, et ce en battues collectives pour une période s’étendant jusqu’au 1er juin 2022. A cet égard, un projet d’arrêté, actuellement en consultation publique, vise à prolonger cette expérimentation jusqu’au 21 mai 2023 dans le but de déterminer si la chevrotine est le plus efficace pour la régulation du sanglier. La consultation publique est ouverte jusqu’au 10 aout 2022 est comporte déjà plus de 150 observations. De plus, est également soumis à consultation publique des projets d’arrêtés concernant le nombre maximum d’alouettes des champs pouvant être capturées à l’aide de matoles pièges-trappes dans les départements des Landes et du Lot-et-Garonne. Cette consultation a d’ores et déjà atteint les 260 observations est reste ouverte jusqu’au 10 aout 2022. Enfin, la capture d’alouettes à l’aide de pantes fait également l’objet d’un projet d’arrêté. Cela concernerait les départements de la Gironde, des Landes, du Lot-et-Garonne et des Pyrénées-Atlantiques et consisterait à l’encadrement de la capture à l’aide de cette méthode. Le ministère de la Transition écologique précise que la décision de publication de ces projets de textes tiendra compte du jugement au fond du Conseil d’État sur le contentieux en cours concernant l’arrêté relatif aux quotas de prélèvement par ce mode de chasse pour la saison 2021/2022 ». Ce projet d’arrêté est également soumis à consultation publique jusqu’au 10 aout 2022 et est consultable sur le site du ministère de la Transition Écologique. Réf projets d’arrêtés relatifs à la chasse et ouverts à la consultation jusqu’au 10 aout 2022 À propos de l’auteur COUSSY AVOCATS ENVIRONNEMENT ENERGIE URBANISME Reconnu en droit de l'énergie et de l'électricité CRE Reconnu en droit de l'environnement Reconnu en droit de l'urbanisme Reconnu en droit de la sécurité CNAPS, CNAC, CIAC Navigation de l’article
Par Chasse Passion. -. 21 janvier 2021. Passionnés de chiens courant et de chasse aux sangliers, découvrez la dernière vidéo de sanglier_40 sur Youtube qui nous emmène au cœur d’une bien jolie battue. Un superbe lancé va propulser un train de sanglier à la ligne et
l'essentiel Le confinement force les chasseurs à rester chez eux, alors que les animaux sauvages, et notamment les sangliers, en profitent pour faire des dégâts dans les cultures. Et le problème, c'est que ce sont les fédérations départementales de chasse qui devront indemniser. Le chiffre résume l’enjeu 131 000, c’est le nombre de sangliers qui ont été prélevés en Occitanie en 2018-2019. Et la dernière saison a été du même tonneau, vu la prolifération de l’espèce cf. DDM du 25/12/2019. "Le problème, c’est qu’avec le confinement les points noirs vont être renforcés partout dans la région", constate Jean-Marc Delcasso, président de la Fédération des chasseurs des Hautes-Pyrénées, département où l’on a déjà tiré 5 000 sangliers pour 2019-2020. Car si parmi la faune et le grand gibier il en est un qui profite à plein du calme, c’est bien le sanglier. Témoin encore ce vendredi, à Toulouse. "Ce matin, la mairie m’a appelé pour m’en signaler un rue Jean-Victorin Déqué, pas loin du canal du Midi", confirme Maurice Saint-Criq, président des louvetiers de Haute-Garonne qui, confiné, n’est actuellement autorisé à intervenir "qu’en cas de risque pour la sécurité des personnes", précise-t-il. "Les jeunes vont se goinfrer avec de gros dégâts à craindre" Et le problème, c’est que les chasseurs sont, eux aussi, confinés "alors qu’on avait obtenu de pouvoir faire des battues tout le mois de mars justement pour mettre plus de pression afin de limiter les populations dans les secteurs les plus sensibles", explique Jean-Marc Delcasso. Mais le 15, "tout s’est arrêté alors qu’on avait encore un gros programme, notamment une interdépartementale avec les Landes", explique également Serge Castéran, président de la FDC32 et de la FRC d’Occitanie. Bilan ? "Les sangliers qu’on n’a pas tirés vont profiter et surtout une énorme population de marcassins que les mères sont en train de sevrer alors que dans le même temps, les agriculteurs, eux, sèment le maïs les jeunes vont donc se goinfrer avec de gros dégâts à craindre", résume Jean-Marc Delcasso. Problème ? Ce sont les fédérations départementales qui indemnisent ces dégâts. Au niveau national, ils s’élevaient à 80 M€ cette saison, contre 30 M€ la précédente et dans les Landes, avec 1,6 M€ à payer, la FDC40 risque de mettre la clé sous la porte. "Nous, nous sommes passés de 100 000 à 400 000€", constate Jean-Marc Delcasso. "Si les chasseurs font faillite, qui régulera ?" interroge-t-il.

Chasseindividuelle Les prélèvements de sangliers autorisés dans les Landes 31.03.20 « Toute action de régulation ou de chasse est dorénavant interdite », rapporte la Fédération nationale des chasseurs. Seule exception au tableau, la fédération des chasseurs des Landes a obtenu le droit individuel de chasser pour lutter contre les

Error 403 Guru Meditation XID 778992520 Varnish cache server Modesde chasse . Chasse au chien d’arrêt devant soi Chasse en battue Approche Affut Arc. Les tarifs. Journée petit gibier: de 80€ à 250€ selon le nombre de pièces lâchés. (faisans, perdrix ou cailles) Journée grand gibier: 400 à 500€ et plus selon gibier chassé (sanglier ou chevreuil) Possibilité action à l’année. Notre avis Publié le 25 nov. 2021 à 1318Fairways labourés, abords des greens dévastés… L'an dernier, juste avant Noël, les sangliers se sont invités sur le golf de Moliets dans les Landes, causant euros de dégâts sur 20 hectares. Au prix d'un investissement de euros, le site est désormais entouré d'une clôture grillagée doublée d'un fil électrique avec des chemins équipés de passages canadiens empêchant les animaux de traverser. Certains agriculteurs se lancent également dans la mise en place de clôtures. D'autres solutions sont désormais utilisées comme le piégeage des animaux . Le département des Landes est le premier à l'avoir autorisé en novembre Cabé est à la tête d'une exploitation de 300 hectares dont une trentaine principalement de maïs a été ravagée en avril dernier avec une perte estimée à euros. Avec d'autres agriculteurs, il a choisi la solution des pièges qui ont dans un premier temps pris la forme de cages en métal. Puis, ils ont eu l'idée d'utiliser des filets après avoir trouvé sur Internet des vidéos montrant aux Etats-Unis le piégeage de sangliers ». Les pièges, en forme de grande nasse de dix mètres de diamètres, ont été fabriqués par Altela, une entreprise de Séméac Hautes-Pyrénées qui produit toutes sortes de filets pour protéger les édifices ou se prémunir des chutes de filets de piégeage contre les sangliers C'est moins dangereux que la cage pour les personnes autour et cela permet de prendre plusieurs animaux à la fois », précise Aurélien Cabé. L'industriel a déjà vendu 25 pièges qui, une fois montés, résistent à un choc de plus de six tonnes et peuvent emprisonner plusieurs animaux à la fois. Après les Landes, nous avons désormais des demandes de Haute-Garonne, d'Ardèche, de Gironde et même de la Marne », explique Pierre-Yves Maniaval, le directeur poids des chasses traditionnellesSi plus d'une quarantaine d'animaux ont été capturés depuis le mois d'avril, il est encore trop tôt pour connaître l'efficacité du piégeage. Je ne pense pas que cela suffise à faire baisser la population. Les femelles ont désormais des portées de 7 ou 8 marcassins avec des hardes de 15 à 20 sangliers qu'on ne voyait pas avant », insiste Aurélien Cabé. Face à une population en croissance et des dégâts qui augmentent, la tension monte avec les chasseurs. La Fédération départementale des chasseurs des Landes, qui invoque un déficit de 1,6 million d'euros, a refusé d'indemniser les agriculteurs pour les dégâts commis par le gibier l'an situation est particulière dans la région où les chasseurs sont très mécontents de la suspension des chasses traditionnelles par le Conseil d'Etat . Et les chasseurs n'hésitent pas à faire monter la pression. On recense chasseurs dans le département mais si les chasses traditionnelles disparaissaient, ce chiffre pourrait s'effondrer, la région n'a pas une grande tradition de chasse au grand gibier », prévient Jean-Luc Dufau, le vice-président de la Fédération des chasseurs des affronter la montée des incertitudes ?Inflation, hausse des taux d’intérêt, Ukraine et maintenant incertitude politique, les chocs se multiplient. Pour évoluer dans un environnement de plus en plus complexe, l’expertise de la rédaction des Echos est précieuse. Chaque jour, nos enquêtes, analyses, chroniques et édito accompagnent nos abonnés, les aident à comprendre les changements qui transforment notre monde et les préparent à prendre les meilleures découvre les offres Garantirla sécurité, c'est le motif premier de cette chasse atypique qui était organisée ce dimanche 13 février, face à la prolifération des sangliers, à
Quand et comment peut-on chasser le sanglier ? L’article R424-8 du code de l’environnement autorise la chasse du sanglier du 1er juin au 31 mars. Conditions de chasse au sanglier du 1er juin au 31 mars se référer à l’arrêté préfectoral départemental Du 1er juin au 14 août, la chasse du sanglier ne peut être pratiquée qu’en battue, à l’affût ou à l’approche, après autorisation préfectorale délivrée au détenteur du droit de chasse et dans les conditions fixées par l’arrêté du préfet. Le bénéficiaire de l’autorisation adresse au préfet, avant le 15 septembre de la même année, le bilan des effectifs prélevés. Du 15 août à l’ouverture générale septembre et de la clôture générale fin février au 31 mars, la chasse du sanglier ne peut être pratiquée qu’en battue, ou à l’affût, ou à l’approche, dans les conditions fixées par l’arrêté du préfet. Il est impératif de se référer à l’arrêté préfectoral d’ouverture de la chasse. Dans le Loiret par exemple, la chasse y est ouverte du 20 septembre 2020 au jeudi 28 février 2021 mais le sanglier peut être chassé, du 1er juin au 14 août 2020, par les détenteurs d’une autorisation préfectorale individuelle, en battue, à l’affût ou à l’approche, en tout lieu du département le détenteur de l’autorisation devant adresser un compte-rendu des tirs effectués à la DDT. A partir du 15 août et jusqu’à l’ouverture de la chasse, la chasse au sanglier peut être pratiquée, sans aucune formalité, à l’approche, à l’affût ou en battue, en tout lieu du département. Du 28 février au 31 mars 2021, la chasse au sanglier est également libre de toute formalité, depuis le décret du 29 janvier 2020 relatif à la période de chasse du sanglier. Classement nuisible au niveau départemental Si le sanglier est classé nuisible décision prise par arrêté préfectoral, les détenteurs du droit de destruction sont autorisés à détruire le sanglier à tir, de jour uniquement, sur une période déterminée il s’agit alors d’un acte de destruction, non soumis à demande d’autorisation préfectorale individuelle. Le droit de destruction appartient au propriétaire ou/et au fermier. Il peut être délégué à un tiers moyennant une autorisation écrite. En principe, un compte-rendu de destruction doit être transmis en fin de période à la FDC. En cas de destruction, il n’y a pas besoin pas de bracelets, ce qui déplaît aux FDC qui n’apprécient pas cette perte de financement. Rappelons au passage qu’un classement en nuisible du sanglier par arrêté préfectoral ne supprime pas la possibilité de se faire indemniser les dégâts qu’il cause. Cette rumeur est parfois répandue par certains chasseurs pour dissuader les agriculteurs de demander un tel classement. Ordre de chasse particulière Il existe enfin un procédé peu connu et peu usité l’ ordre de chasse particulière en vue de la destruction de sangliers » esquissé par l’article L427-6 du code de l’environnement, délivré par l’autorité préfectorale, durant la période de non-chasse. À nous de le faire appliquer plus fréquemment ! C’est par exemple le cas du département du Var arrêté du 5 avril 2016, le préfet ayant rendu possible l’octroi d’ordres de chasse particulière permettant des tirs de destruction de sangliers, de jour comme de nuit. La demande formulaire de l’agriculteur est instruite par la DDT et l’ordre de chasse est valable 6 mois. L’agriculteur ne peut tirer que sur les parcelles agricoles qu’il exploite et qu’il a signalées lors de sa demande. Battues administratives et tirs de nuit, sous l’autorité du préfet La battue administrative est ordonnée par le préfet en vertu de l’article L427-6 du code de l’environnement, sans que le consentement du détenteur du droit de chasse soit nécessaire, et réalisée sous la responsabilité d’un lieutenant de louveterie. En outre, dans les communes situées à proximité des massifs forestiers où les cultures sont menacées périodiquement de destruction par les sangliers, le préfet peut, en application de l’article L 427-7 du code de l’environnement, déléguer aux maires le pouvoir d’ordonner des battues aux sangliers. Ces battues municipales peuvent alors avoir lieu, dans les mêmes conditions que précédemment, sans qu’il soit nécessaire d’inviter préalablement les propriétaires à détruire les sangliers. Le préfet a tout pouvoir pour exiger une battue ou des tirs de nuit, même en période de chasse. S’il demande en général l’avis de la FDC avant de prendre son arrêté, il n’est en aucun cas lié par cet avis. Lors de notre rencontre avec Willy Schraen en février 2017, celui-ci nous avait indiqué que dans son département du Pas-de-Calais, le louvetier bénéficie d’une autorisation préfectorale permanente de tir de nuit, ce qui est très efficace. Mesures administratives, sous l’autorité du maire En application des articles L427-4 du code de l’environnement et du 9° de l’article L. 2122-21 du code général des collectivités locales, le maire a le pouvoir, sous le contrôle administratif du préfet, de prendre les mesures nécessaires à la destruction des animaux nuisibles », notamment pour prévenir les dommages importants, notamment aux cultures, à l’élevage, aux forêts, aux pêcheries, aux eaux et à d’autres formes de propriétés » L427-6 du code de l’environnement. Il n’intervient qu’en cas de carence des propriétaires ou des détenteurs des droits de chasse, préalablement invités à procéder à la destruction de ces animaux. Pour ce faire, le maire peut ordonner la réalisation de battues organisées sous le contrôle et la responsabilité technique d’un lieutenant de louveterie. En accord avec celui-ci, le maire fixe les conditions des battues dates, heures, lieux, nombre et qualification des participants, prescriptions techniques, modalités de signalement de la battue, etc. par arrêté municipal, largement affiché et diffusé. La surveillance et le conseil aux usagers et propriétaires peuvent également être complétés par l’action de gardes particuliers, bénévoles ou rémunérés, recrutés parmi le personnel communal ou intercommunal titulaire du permis de chasser. Suite à une formation initiale, puis leur agrément par le préfet et leur assermentation par le tribunal d’instance, ces personnels sont autorisés à intervenir sur les territoires sur lesquels ils sont commissionnés, toute l’année, de jour seulement, avec l’assentiment des propriétaires détenteurs du droit de destruction Pour la CR, le sanglier doit être classé nuisible au niveau national. Avec la combinaison de tous ces procédés et avec un préfet compréhensif, on arrive à pouvoir intervenir presque toute l’année. Mais pour la CR, la meilleure des solutions serait que le sanglier soit classé nuisible à l’échelle nationale et qu’il soit chassable toute l’année, sans démarche administrative particulière simplification.
Réservezet proposez des expériences de chasse - Landes LES CHASSEURS REGULENT LA FAUNE Afin d’obtenir la caution de la population, les chasseurs veulent faire passer leur loisir pour un impératif de service public, se prétendant indispensables à l’équilibre de la faune. Qui peut croire que leurs motivations relèvent d’un quelconque souci de régulation ? Chaque année, 20 millions d’animaux faisans, lièvres, lapins, perdrix, etc. sont élevés ou importés pour être lâchés par les chasseurs dans la nature, parfois le matin même de la partie de chasse. Ceci dans l’unique but de fournir suffisamment de cibles vivantes. Comment osent-ils, face à ces faits, évoquer la régulation » ? De plus, les prédateurs, authentiques régulateurs naturels, sont systématiquement détruits par les chasseurs. Renard, martre, fouine, belette, putois sont même classés nuisibles » aujourd’hui Susceptibles d’occasionner des dégâts » ce qui ne change rien à leur sort, un non-sens écologique, et sont ainsi tués toute l’année. Quant aux prédateurs protégés, en particulier les loups, ils subissent la pression des chasseurs qui obtiennent chaque année des autorisations de tirs, lorsque ce n’est pas en toute illégalité que des individus sont tués. A l’instar du pompier pyromane, la chasse s’entretient elle-même. Tuer les prédateurs, élever et lâcher des millions d’animaux, pour ensuite avoir l’hypocrisie de se mettre en position de sauveurs », de se prétendre régulateurs » indispensables, relèvent de la pure imposture. Il est aussi malhonnête de la part des chasseurs de tenter de justifier l’ensemble de la chasse avec cet argument de régulation » car, de plus, il ne concerne que quelques espèces parmi les 91 chassables. En effet, de nombreuses espèces chassables ont, au contraire, des effectifs en diminution. Ils jugent les prédateurs renards… trop nombreux car ils les considèrent comme des concurrents à éliminer. Ils désignent les sangliers, qu’ils évoquent copieusement auprès des médias. Et ils doivent avouer qu’ils les agrainent », c’est-à-dire qu’ils mettent à leur disposition, chaque année, des tonnes de maïs, pommes, melons afin qu’ils ne quittent pas leurs territoires et que les laies, bien nourries, se reproduisent davantage. Il faut également savoir qu’ils ont introduit dans la nature un croisement entre laies et verrats, des cochongliers, provoquant des portées de marcassins plus importantes et engendrant un animal très prolifique. Et régulièrement des chasseurs sont condamnés pour élevage/lâchers illégaux de sangliers. Ils ont ainsi multiplié par 14 en 45 ans le nombre d’animaux tués pour mémoire on tuait 60 000 sangliers en 1976, on en a tué 700 000 en 2016, et le nombre ne cesse d’augmenter. Pourtant les chasseurs continuent à se présenter comme des régulateurs indispensables… Alors, les chasseurs, des sauveurs des agriculteurs » ? Interdisons l’agrainage, surveillons pour qu’il n’y ait plus de lâchers d’animaux et clôturons les champs fils électriques où les sangliers se nourrissent, et pour faire face ponctuellement au chaos produit dans les points noirs » -75% des dégâts concentrés dans 10% des communes source France Agricole, utilisons le vaccin immunocontraceptif proposé par le Professeur Crousillat, c’est la solution efficace et pacifique pour que la population de cet animal revienne à des densités tolérables et s’autorégule tout en réduisant les dégâts aux cultures. Dans les vastes zones sauvages, les Parcs Nationaux et les autres zones sans chasse, la faune s’équilibre naturellement depuis des milliers d’années. Les prédateurs régulent les populations de leurs proies en les maintenant en une bonne situation sanitaire, et réciproquement. En effet, ces derniers ne sont jamais trop nombreux, sinon ils seraient contraints à mourir de faim du fait d’une insuffisance de proies. De nombreuses espèces s’autorégulent en fonction de la surface de leur territoire et de la quantité de nourriture disponible. Si toutefois une espèce venait à être trop nombreuse, des solutions pacifiques existent, nul besoin d’hommes armés dans nos campagnes. Nous préconisons de confier la gestion de la faune et des espaces naturels à des fonctionnaires formés et diplômés, au sein d’instances départementales ou régionales, dont la mission serait d’appliquer les conditions d’une cohabitation pacifique et harmonieuse entre les animaux sauvages et l’Homme, fondée sur la prévention et la protection. LA CHASSE EST UNE ACTIVITÉ ECONOMIQUE QUI CREE DES EMPLOIS L’économie générée par la chasse est vraiment très marginale dans celle de notre pays. La chasse est surtout à l’origine d’une économie non fiscalisée, souterraine et ignorée locations non déclarées des gabions et des terrains de chasse, ventes illégales du gibier », etc.. Des gîtes de randonnées ne fonctionnent pas en période de chasse, les chasseurs faisant fuir les visiteurs. Il serait possible pour les personnes ayant un emploi lié à la chasse de se convertir dans le tourisme basé sur l’observation respectueuse de la faune, qui générerait d’ailleurs une économie bien plus importante. Par ailleurs, l’économie ne peut justifier un loisir éthiquement condamnable, écologiquement désastreux et dangereux. Enfin, si la chasse était interdite, les chasseurs s’adonneraient à d’autres loisirs, pour un budget équivalent, ce qui serait seulement une modification » des flux financiers vers d’autres activités d’où aucune perte » économique au niveau global. LA CHASSE EST UNE TRADITION Quelques formes de chasse sont en effet traditionnelles, bien que beaucoup de modes de chasse soient en fait très récents et que les chasseurs utilisent maintenant des téléphones portables, des fusils perfectionnés, des 4×4 et autres outils très modernes. Cependant, toute tradition n’est pas bonne à pérenniser ! L’Histoire a heureusement vu l’abolition de l’esclavage, de diverses tortures, de la peine de mort, etc. La tradition relève en réalité d’un problème de maturité d’esprit ; elle empêche toute prise de recul et de conscience, réflexion et remise en cause d’autres l’ont fait avant moi, donc je le fais aussi ». Il faut, au contraire, savoir évoluer et supprimer les traditions cruelles, irrespectueuses de la vie ou néfastes pour la nature, telles que la chasse. LA CHASSE EST UNE ACTIVITE CONVIVIALE, QUI CONTRIBUE AU LIEN SOCIAL C’est sans doute vrai pour les quelques individus qui la pratique, bien qu’on puisse penser que la convivialité d’un loisir basé sur la mise à mort est limitée, et que cette convivialité n’est certainement pas partagée par les promeneurs qui se retrouvent face à un porteur de fusil au détour d’un chemin. Il existe un nombre infini d’activités conviviales et non sanglantes, ne se pratiquant pas contre des êtres sensibles. Vivre agréablement ensemble ne nécessite pas d’utiliser des pièges et fusils. LA CHASSE, C’EST NATUREL Ce n’est pas parce que la chasse est une pratique qui se déroule en milieu naturel qu’elle est une activité naturelle. Et s’il s’agissait à l’origine d’une activité naturelle de subsistance, désormais la chasse est devenue un loisir, un divertissement, un sport pour certains. Elle a donc perdu son caractère naturel et vital il y a bien longtemps, depuis l’invention de l’élevage… Ce slogan est une confusion entre la chasse en tant que prédation et la chasse de loisir -Les prédateurs renards, loups, aigles, etc. chassent pour survivre, c’est une nécessité vitale dans ce cas, la chasse est naturelle. -L’Homme, dans un pays comme la France, ne chasse pas par nécessité, il s’agit d’un loisir, d’une passion dans ce cas, la chasse, ce n’est donc pas naturel. De plus, le fait que beaucoup d’animaux tués proviennent de lâchers, ainsi que l’utilisation d’armes de plus en plus perfectionnées, contribuent à artificialiser cette chasse-loisir. Sont naturels également les maladies, poisons, meurtres, etc. – ainsi, naturel » n’est ni un argument, ni un qualificatif nécessairement positif. lLZl.
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