Lamesure avait fait les gros titres de l’actualité. Le 1er juillet 2018, la vitesse réglementaire sur les routes secondaires à double sens sans séparateur central est passée aux 80km/h. Une réglementation polémique à laquelle le gouvernement a souhaité répondre en permettant aux Départements de revenir sur cette mesure sous quelques conditions.
Emmanuel Macron a expliqué qu'au terme de deux ans d'expérimentation, la mesure serait abandonnée si elle n'avait "pas d'efficacité" reconnue. TRANSPORTS - Plusieurs centaines de motards se sont rassemblés dimanche 15 avril à Paris pour protester contre la limitation de la vitesse à 80 km/h sur les routes secondaires, mesure très controversée qui entrera en vigueur au 1er juillet. Après s'être retrouvés devant l'esplanade du château de Vincennes, au milieu de pancartes "Non à la dictature autophobe" ou "Motards en colère", ils se sont rendus sur le périphérique parisien, avant de le bloquer complètement au niveau de Porte de Pantin, comme le montrent plusieurs photos publiées sur les réseaux sociaux. "La limitation à 80 km/h, ça ne marchera pas", a affirme à l'AFP Jean-Marc Belotti, coordinateur de la Fédération française des motards en colère FFMC. "Cette politique se fait contre les usagers, or c'est nous qui mourons sur les routes. Il faut investir dans l'éducation pour changer les comportements", a-t-il estimé. Plusieurs milliers de motards et d'automobilistes "en colère" avaient une nouvelle fois manifesté la veilledans plusieurs villes de France. Le gouvernement a annoncé le 9 janvier la réduction de 90 km/h à 80 km/h de la vitesse maximale autorisée sur km de routes secondaires à double sens sans séparateur central terre-plein, glissière. Selon lui, ces routes ont concentré 55% des accidents mortels en 2016. Durant son interview de jeudi sur TF1, Emmanuel Macron a défendu cette disposition très critiquée à droite, parmi les automobilistes et dans les territoires ruraux. Disant entendre les "coups de sang" et les "énervements", le chef de l'Etat a expliqué qu'au terme de deux ans d'expérimentation, la mesure serait abandonnée si elle n'avait "pas d'efficacité" reconnue. Il a également réitéré que tout l'argent perçu par l'Etat en sanctionnant ceux qui y contreviendraient serait affecté aux "hôpitaux qui soignent les blessés de la route". À voir également sur Le HuffPostDécretabaissant la vitesse maximale autorisée de 90 à 80 km/h sur les routes à double sens. Article créé le 09/08/2018 par les services de la DDT de l’Orne Mis à jour le 09/08/2018 . sans séparateur central . Documents associés : > Lire le communiqué de presse - 137 ko - 09/08/2018 . Pied de page. Services de l’État; Politiques publiques ; Actualités; Publications;
Uniquementles routes à double sens, sans séparateur central, qui représentent 400.000 km du réseau français. Mi-juin, un groupe de travail sénatorial avait préconisé une application
Aprèsl'abaissement, en juillet 2018, de 90 à 80 km/h de la vitesse maximale sur les routes secondaires à double sens sans séparateur central, plus d'un tiers des départements ont choisi deLalimitation de vitesse sera de 80 km/h sur les 400.000 kilomètres de routes nationales et départementales bidirectionnelles (à double sens) sans séparateur central (terre-plein, muret
Surles routes à double sens sans séparateur central, la vitesse peut être de 90 km/h ou de 80 km/h depuis le 1er juillet 2018. La vitesse maximale autorisée est fixée par les autorités
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